2010-06-23

Libre!

À défaut de ne savoir être libre soi-même, disait Claude P.Magnan, le réflexe serait d'emprisonner les autres. Malheureusement, cette phrase me semble affreusement vraie. Combien de personnes agissent exactement comme ça? Combien d'autres écrasent leur entourage par incapacité à s'élever eux-mêmes?

Être libre, c'est être capable d'assumer toute son espace et seulement son espace. Il est très facile à l'être humain de vouloir assumer l'espace de l'autre, de faire pour l'autre, de dire à l'autre quoi faire, quoi penser. Souvent cela se fait d'une manière très subtile, mais réelle. Il est beaucoup plus exigent d'être conscient de ce que nous sommes, ce que nous vivons, ce que nous désirons... et de l'assumer en toute vérité, sans orgueil ni fausse humilité.

2010-06-22

Force ou courage?

Nous confondons trop souvent la force et le courage. Celui qui est fort est-il nécessairement courageux ou a-t-il simplement trop confiance en sa force? Se pense-t-il simplement invincible? Alice M.Swan disait : "Le courage ne ressemble pas au chêne imposant qui défie les tempêtes, mais à la fleur fragile qui éclot dans la neige."

La personne courageuse est souvent la première surprise de découvrir la force qui l'habite. Toutefois, je crois qu'elle réellement consciente de ses limites, ce qui, en quelque sorte, la rend plus forte. En fait, ce qui est le plus fort, c'est le désir de vaincre, de traverser l'épreuve, d'aller jusqu'au bout... Parfois par désir de dépassement, d'autres fois parce qu'elle ne peut faire autrement.

Alors, vaut-il mieux être fort ou courageux? Dite-le moi!

2010-06-18

Le pardon est-il plus fort que la vengeance?

"En se vengeant, on devient égal à son ennemi; en pardonnant, on se rend supérieur." C'est ce que disait Francis Bacon. Avait-il raison? Je le crois volontiers!

En effet, le pardon n'est pas simplement une action naïve et aveugle. Ce n'est pas le fait d'oublier ce que l'autre à fait. Ce n'est pas un geste de lâche. Bien au contraire. Il faut beaucoup de courage pour pardonner à quelqu'un. Pardonner, c'est empêcher l'autre de garder un pouvoir sur moi. Tant que la colère, la blessure ou la vengeance m'empêche de pardonner (ce qui est tout à fait normal), je laisse aussi à l'autre la possibilité de continuer d'avoir un pouvoir sur moi. Autrement dit, le geste qui m'a blessé, offensé ou autre, pourra continuer à me ronger de l'intérieur et l'autre sera gagnant. À l'inverse, le pardon élimine cet emprise que l'autre pourrait garder sur moi. C'est donc m'élever au-dessus de l'autre, avec courage, que de pardonner.

L'autre n'a même pas à accepter ou demander mon pardon. Je ne lui dirai peut-être jamais. C'est une décision intérieure qui sera peut-être un jour nommée tout haut. C'est une décision du coeur et de l'esprit qui vient dire, au fond, que je ne laisserai plus cela (l'événement qui m'a offensé) ni l'autre m'empêcher de grandir, d'avoir honte, peur, mal, etc.

Inversement, la vengeance donne l'illusion de se soulager. On croit que cela nous fera du bien. Mais, c'est souvent un soulagement de courte durée. Cela ne m'élève pas, de soulage pas réellement ma blessure, n'apaise pas ma douleur, ma peur, ma honte... ou si peu.

Alors, si je vous le demandais, que me diriez-vous? Le pardon est-il plus fort que la vengeance?

2010-06-17

Bill Gates et Warren Buffett lancent une campagne pour inciter les riches à donner

 Cette nouvelle, que l'on peut lire sur le site lesaffaires.com a de quoi surprendre. Elle surprend parce que l'on pourrait penser que cela est seulement pour une question d'image. Pourtant, "le numéro un de Berkshire Hathaway, M. Buffett, a affirmé qu'il n'avait jamais été aussi heureux que lorsqu'il a décidé, en 2006, de donner 99 % de sa fortune estimée à 46 milliards de dollars américains à des oeuvres de charité", nous dit ce même article. Bien que Stacy Palmer, dit que "seulement 17 personnes de la liste des 400", qui sait ce que leur exemple pourrait faire.Ça, c'est quand même encourageant.

Par contre, selon moi, il ne faut pas réserver cela seulement aux riches. Bien sûr, tout le monde ne peut pas donner la moitié de sa fortune. Toutefois, il me semble qu'il y a toujours quelqu'un de plus pauvre que nous quelque part. De plus, la richesse ne se résume pas seulement à l'argent. Notre temps, nos talents, voilà aussi ce que bien des organismes ont besoin. Qu'est-ce que cinq dollar de plus me direz-vous devant tous les besoins? Qu'est-ce qu'un trente minute par semaine peut bien changer? Si tout le monde ce disait plutôt à l'inverse que cela ne lui enlève pas grand chose, cela ferait beaucoup de cinq dollars. Et puis, laissez-moi vouspartager une histoire.

Le poids d'un flocon de neige...

"Dis-moi combien pèse un flocon de neige ?", demanda la mésange charbonnière à la colombe. "Rien d'autre que rien", fut la réponse. Et la mésange raconta alors à la colombe une histoire : "J'étais sur la branche d'un sapin quand il se mit à neiger   -   Pas une tempête, non, juste comme un rêve, doucement, sans violence. Comme je n'avais rien de mieux à faire, je commençai à compter les flocons qui tombaient sur la branche où je me tenais. Il en tomba 3 751 952. Lorsque le 3 751 953ème tomba sur la branche (rien d'autre que rien, comme tu l'as dit), celle-ci cassa". Sur ce, la mésange s'envola.

La colombe, une autorité en matière de paix depuis l'époque d'un certain Noé, réfléchit un moment et se dit finalement : "Peut-être ne manque-t-il qu'une seule personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix ?"

Peut-être ne manque-t-il qu'un peu de vote temps ou du mien pour tout changer! Peut-être manque-t-il un peu de votre argent ou du mien pour tout changer! Ne serais-ce que pour changer la vie d'une personne. Et cette vie changer, sera peut-être d'abord et avant celle de la personne qui donne.

2010-06-14

L'être humain, un esprit créateur! Mais...

L'être humain parvient, de siècle en siècle, à pousser son esprit créateur de plus en plus loin. Ce matin, quand je lis que 105 000 personnes ont visité le Festival aérien de Québec, je ne peux m'empêcher d'y croire encore plus. N'est-ce pas fascinant que l'homme arrive à construire des machines si lourde, qui volent? Certaines sont tout simplement gigantesques. C'est à se demander comment une énormité pareil arrive à décoller. Que dire des F16 et autres avions qui atteignent des vitesses tout simplement impressionnantes. Mais...!

Quand on réalise que la majorité des grandes inventions servent ou ont servi à la guerre d'abord et avant tout, cela attriste un peu le spectacle. Si on pouvait mettre autant d'argent et d'énergie pour régler les problèmes de famine, d'eau potable et autres. Un reportage à Historia démontrait l'autre jour que si un seul pays construisait un avion de chasse de moins par année (au coût de un milliard de dollars chacun), on pourrait régler le problème de l'eau potable dans le monde entier. Ce serait encore plus énorme, ne trouvez-vous pas?

La question à se poser ici n'est pas de savoir si nous avons le génie nécessaire pour régler de tels problèmes, mais bien comment utilisons-nous notre génie?

2010-06-10

Savoir s'organiser!

Beaucoup d'organisation sont nées dans le dernier demi-siècle avec des chacune, sa mission particulière. Certaines sont devenues des institutions : Opération Enfant-Soleil, la Croix-Rouge, les fondations autour des recherches sur le cancer en générale... D'autres peines à survivre où sont mortes. Problème de financement? Pas nécessairement!

Le problème relié à plusieurs organismes se résume à l'un ou l'autre des points suivants (ou plusieurs dans certains cas) : Énoncé de mission dépassé ou peu clair; objectifs spécifiques inexistants, trop nombreux, trop loin de la mission ou confondus avec les moyens; aucune étude de marché n'a été faite au départ ou depuis quelques années afin de connaître les besoins, la clientèle, les "concurrents"; un plan de marketing et de gestion n'est pas établi avec clarté...

Au fond, dans biens des cas, les responsables d'un organisme, à leur fondation, sont passés de l'énoncé d'une mission et de certains objectifs au financement et aux activités. Un vide existe dans le milieu. Quand vient le temps de changement de responsables, certains s'aperçoivent que quelque chose ne tourne pas rond, mais sans arriver à redresser le gouvernail. La solution : reprendre du début l'ensemble du travail. Vaut mieux une pause momentané qui nous donne de bien nous situer qu'un élan trop rapide qui nous tue à jamais. Au fond, lorsque nous prenons du recul, il est plus facile de voir la situation dans son ensemble afin de prendre un élan dans la bonne direction et de sauter plus loin. Par contre, dans certaines situations, il est préférable d'avoir de l'aide de l'extérieur.

2010-06-08

Le secret du bonheur en amour!

Tout le monde a déjà entendu l'expression "l'amour rend aveugle". D'autres diront, qu'en amour il faut savoir regarder dans la même direction. Simone Signoret, pour sa part, dit que "le secret du bonheur en amour, ce n'est pas d'être aveugle mais de savoir fermer les yeux quand il le faut." Voilà une vérité essentielle.

Combien de personnes, de couples, finissent par être malheureux ensemble parce que plein de petites choses deviennent insupportables? Si être aveugle c'est de ne pas avoir vu certaines choses chez l'autre avant de mette trop engager, savoir fermer les yeux c'est plutôt être pleinement conscient de cela et d'accepter d'ignorer. Je ne parle pas ici de cas intolérable (par exemple une femme battue). Je pense surtout à tout ce que nous entendons ces dernières années, plus au moins sérieusement parfois. Des gens qui deviennent malheureux dans leur couple, qui se sentent prisonniers, avec moins de liberté, moins de place pour croître et s'épanouir. Qu'en est-il en réalité?

La vie de couple, demande une capacité à faire un don de soi et à recevoir l'autre. Plus tu donnes, plus l'autre à le goût de donner, etc. Malheureusement, la routine du quotidien, le fait de se connaître si bien, les obligations, font en sorte que des gestes importants cessent ou passent inaperçus. On arrête d'être reconnaissant pour un geste que notre conjoint fait. Soit qu'on ne le voit plus ou soit que c'est "juste normal" qu'il fasse cela. Le manque de reconnaissance fini, inconsciemment par enlever chez l'autre le goût "d'en faire plus", de poser des gestes donneur de vie. Être reconnaissant, c'est aussi être capable de fermer les yeux devant quelque chose qui n'est pas tout à fait à mon goût, devant un comportement imparfait, une tâche un peu bâclée... C'est voir davantage ce que l'autre fait que ce qu'il ne fait pas et même, voir davantage ce que je ne fais pas que ce que je fais.

2010-06-07

L'Afrique : Une belle occasion!

Quand nous entendons parler de l'Afrique, c'est à cause, souvent, de ses nombreux conflits. Quelle belle occasion nous donne la Coupe du monde de soccer de découvrir l'Afrique. La série sur l'Afrique produite par Radio-Canada est une chance d'ouvrir nos horizons, de découvrir ce continent sous un autre angle, de faire tomber des préjugés. Saurons-nous faire le pas nécessaire à un rapprochement?

Pour ma part, je suis (comme d'autres j'imagine) encore très surpris de constater régulièrement combien de gens en 2010 ont des préjugés féroces contre les personnes d'une autre couleur de peau, d'une autre culture, de l'autre sexe, d'une autre religion ou d'une autre orientation sexuelle. Il semblerait que 99,9 % de notre génétique -- même dans les cas de grandes différences --, est similaire. Alors pourquoi certaines personnes et certains dirigeants mettent-ils 99,9 % de leur énergie pour 0,1 % de nos différences? Ne peut-on pas voir tous ce qui nous unit?

La peur, les principes rigides et les préjugés sont, à mon humble avis, trois choses qui tuent assez facilement les relations. Quand est-il pour chacun de nous?

2010-06-04

On ne voit les étoiles que la nuit


Organisez une fête qui dure toute la nuit : les jeunes y seront! Planifiez une tournée des bars : les jeunes afflueront! Préparez une expédition nocturne, ils répondront à l’appel! Invitez-les à « La nuit de la pauvreté » : ils répondront oui à l’invitation, une fois de plus ! [...]

Effectivement, la nuit représente pour les jeunes un espace de liberté. Aucune contrainte de temps, aux yeux de certains. Espace d’accueil sans préjugé ─ où plusieurs tabous tombent ─ pour d’autres. C’est l’occasion la plus facile pour bien des jeunes de créer des rapprochements sans parole, sans complexité. Après tout, la nuit cache bien des défauts. Dans cette obscurité où le temps semble s’arrêter, les soucis de la veille paraissent s’effacer quelques instants. Ceux du lendemain peuvent attendre…
DES FANTÔMES ET DES RÊVES
Toutefois, quand rien n’est prévu pour la soirée, la noirceur qui tombe devient (particulièrement pour plusieurs adolescents et jeunes adultes) un temps d’angoisse, de désespoir, de solitude. « La nuit est le théâtre de nos émotions », me confiait Valérie. Que ce soit par les images des rêves qui nous reviennent dans notre sommeil, par les grandes émotions des rassemblements arrosés ou par une marche paisible, la nuit fait ressurgir les vieux fantômes, émotions ou événements non intégrés, c’est un fait. 
Entre le festif et l’intimité surprenante des fêtes, et le supplice d’une nuit à occuper, la détresse, malheureusement trop souvent, se faufile. Le suicide apparaît même pour certains la seule issue à ces ténèbres intérieures. Paradoxalement, c’est souvent la très grande soif de vivre qui pousse certains jeunes au suicide. Leur réalité paraît si terne face aux rêves brisés. Rêves d’un devenir professionnel, d’une relation amoureuse, d’une famille, d’une amitié. Rêves d’une société plus humaine, accueillante, compréhensive et pacifique. Rêves d’un idéal où la vie ne risque pas d’imploser à tout moment.
Comme le disait Jean-Marc Chaput : « Nous semblons avoir assez facilement réussi à créer les moyens nécessaires pour faire éclater physiquement la planète. Mais spirituellement, nous n’avons pas encore trouvé le moyen de remettre en place les parties de ce monde éclaté. » Nous? Peut-être pas! Mais, heureusement…

[...]

Aujourd’hui, au cœur des obscurités planétaires, qu’en est-il? Combien d’hommes et de femmes, jeunes et moins jeunes, croyants ou athées, empruntent ce chemin d’humanité. Nul besoin de croire en Dieu pour croire en l’homme. Nul besoin de croire en Dieu si nous ne croyons pas en l’homme. Au-delà de toutes nos différences d’être, de foi et d’agir, beaucoup croient en l’humain. Pas de façon idéaliste. Mais sans être pessimistes, non plus! Leur cœur brûle. Ils ont le goût de faire jaillir pour d’autres ces étincelles de vie. Ils partagent ensemble la découverte si paradoxale que… ça prend la nuit pour voir les étoiles!

Quel est ce chemin [...] apparemment si simple à vivre? Un parcours exigeant! Même pour les plus motivés des marcheurs. Car sur cette route dans les ténèbres, se dressent plein d’obstacles. Lesquels? Particulièrement ces blocages de communication qui rendent, s’ils ne sont pas repérés et évités, la nuit encore plus opaque. Vrai pour trop d’institutions, éducateurs ou proches. Cela donne, alors, à ceux que nous prétendons accompagner, le goût de décamper.

Les meilleures intentions peuvent tout briser en remplaçant l’accueil inconditionnel véritable par cette attitude méprisante qui cherche à loger des réponses toutes faites; ou encore à jouer la gamme de tactiques évidemment inefficaces: menaces, investigation, moralisation ou, à l’opposé, approbation exagérée, distraction pour éviter le sujet... Si, au contraire, nous osions croire que tout pourrait changer si nous acceptions, sans préjugés, mais avec empathie et respect, de faire simplement un bout de chemin avec l’autre!

Surprise! Voilà que des jeunes passent alors des nuits fauves aux nuits magiques peuplées d’étoiles! Le doute, les questions et la peur ne disparaissent pas pour autant.  Mais quelque chose bascule du côté de la joie qui demeure: la même nouvelle génération ─  hier si friande de nuits torrides agitées ─ s’ouvre peu à peu à des [...] nuits blanches de solidarité, avec espace bénévolat pour en aider d’autres à traverser leurs obscurités.

Qui sait, un jour, ou peut-être une nuit, deviendront-ils nos compagnons de route?

* Extraits de mon article dans le magazine Vie Intérieure


2010-06-03

L'imperfection empêche la perfection

Hier, le lanceur Armando Galarraga des Tigers de Detroit a failli faire l'histoire mais l'histoire retiendra qu'une mauvaise décision d'un officiel l'a privé d'un match parfait contre les Indians de Cleveland.

L'arbitre au premier but Jim Joyce a déclaré sauf le frappeur Jason Donald sur un jeu serré. À la reprise vidéo, on a pu constater que l'officiel avait pris la mauvaise décision et que Donald était bel et bien retiré.

Alors que la poussière venait de retomber, Joyce a présenté ses excuses à Galarraga et ce dernier les a acceptées.

"C'était la décision la plus importante de ma carrière et je l'ai complètement manquée ce qui a volé un match parfait à ce jeune lanceur...", a avoué Joyce en entrevue.

Galarraga a eu beaucoup de classe dans ses propos à la suite de ce triste dénouement.

"Personne n'est parfait et tout le monde est humain et peut faire des erreurs. En fait, j'ai beaucoup de respect pour cet arbitre car il tenait à me parler pour me dire qu'il était sincèrement désolé et on ne voit jamais les arbitres faire cela", a soutenu Galarraga avec un grand respect.

Galarraga aurait été seulement le 21e joueur de l'histoire du baseball a réussir cet exploit. Il faut beaucoup d'humilité dans des circonstances pour, d'un côté, admettre son erreur (Joyce) et de l'autre, pour accepter les excuses de cet officiel le privant d'être inscrit dans le livre des records. Au fond, Galarrage le sait, lui, qu'il a lancé une partie parfaite. Tout le monde le sait également. Son nom n'apparaîtra officiellement nul part, mais chacun s'en souviendra. N'est-ce pas le plus important?

2010-06-01

Quelques témoignges

Voici quelques témoignages de gens à propos de la formation LECI (Les espaces et la communication interpersonnelle). Cette formation se donne au Canada, mais aussi au Mexique, au Paraguay et à de grandes entreprises en Californie (USA).



·         « Je vis plus en harmonie avec moi-même. Je suis arrivé à une communication plus gratifiante avec mon épouse et mes enfants; de plus, j’ai cessé de fumer». Jorge 
·          « J’ai appris à déléguer des fonctions aux autres et j’ai appris que l’encouragement fait bouger les montagnes». Dans l’entreprise, ça nous a aidés à mettre de l’ordre dans nos réunions ».   Inés Elena
 
·          « LECI est un outil très complet et très pratique. Nous protégions excessivement nos enfants, nous utilisions de longs «sermons» et des agressions. En respectant les espaces existentiels de chacun, en mettant en pratique l’écoute active, le message-je et les conséquences logiques, nous vivons mieux et nos enfants assument mieux la responsabilité de leur vie»  Jack et Regina

·          «Je ne pourrais pas vivre sans animer cet atelier, je me rends compte de plus en plus de son utilité. Comme psychologue, je reçois les enfants à mon bureau et leurs parents dans l’atelier  LECI. Je suis très contente des résultats ».   Rosy

·          «Je vivais sous pression et angoissée car j’agissais comme une police afin que mes deux aînés réalisent leurs devoirs; en utilisant les conséquences logiques je me suis libérée de cette «obligation» et eux ont assumé leur responsabilité».  Estela

·          «J’ai appris à mieux me comprendre, à exprimer mes besoins et mes sentiments correctement et à assumer la responsabilité de ce qui m’arrive. J’ai réussi à changer mes attitudes intérieures, j’ai grandi en valeurs et je suis arrivée à vivre des relations saines et durables avec les autres». Lupita

·          «Avec les ateliers de communication, j’ai appris à sourire de nouveau». Tom.

·          «Avec  LECI, nous avons appris à définir notre espace, à nous pardonner et nous avons retrouvé la paix intérieure. Nous avons remarqué tellement de changements en nous et chez les personnes qui y ont participé, que nous avons choisi de dédier la majeure partie de notre vie à l’animation des ateliers».  Salvador et Rebeca

·          «C’est un instrument de grande valeur pour la famille. Nous sommes témoins de changements positifs radicaux au sein des familles et de notre communauté E.A.S." Arturo et Lorena

·         Je me rends compte que j’ai changé ma perception des personnes et de la vie; je suis maintenant de plus en plus positive». Alicia

·          «LECI m’a aidé à mieux écouter et à croire que les personnes peuvent solutionner elles-mêmes leurs problèmes. Je me sens plus libre et plus sûr.  Je crois que j’accueille les gens plus chaleureusement. Fréquemment je les vois s’éloigner avec une meilleure estime de soi».  Gilles

·         «Nous cherchions à améliorer notre relation avec nos enfants.  La participation si vivifiante aux ateliers de LECI nous a aidés à respecter l’individualité de chacun et à reconnaître leur capacité à résoudre leurs problèmes, à accepter nos propres sentiments et à les exprimer en «je».  Nous réalisons notre conseil de famille une fois par semaine et nous résolvons ensemble les problèmes de notre vie commune».  Angélica et Javier

·          « Je me sentais très impuissante à aider mon septième enfant à résoudre de sérieux problèmes de conduite. J’ai appris à l’encourager,  à respecter son espace et son rythme. Aujourd’hui les relations avec mon époux et cet enfant, ainsi qu’avec le reste de la famille, sont beaucoup plus harmonieuses »  Nidia

·          «Nous avions 40 ans de mariage et tous nos enfants étaient mariés lorsque nous avons participé aux ateliers de LECI. Pour nous deux, il en a résulté une relation ayant plus d’harmonie, de compréhension et de tolérance» Mario et Irma Grijalva. Los Mochis

·          « Lorsque nous avons débuté avec LECI notre fils était sur le point d’être renvoyé de l’université. Il avait une estime de soi très détériorée et il souffrait de sérieux problèmes de boisson. Un changement radical de notre part a fait qu’il a pris sa vie en main.  Aujourd’hui il est ingénieur agronome. » José Luis et Sofía

·          « Nous voyons le résultat de LECI en nos enfants. Ils assument mieux leurs responsabilités, ils ont grandi en estime de soi et en respect. Ils prennent leurs décisions. Une de nos filles a décidé de changer d’école.  Nous avons accepté ses raisons et elle se sent beaucoup mieux. »  Armando et Rosy

·          « Avec LECI j’ai commencé à respecter l’espace des autres et à pratiquer l’écoute active. Quand on a parlé du Conseil de famille, une force est née en moi qui m’a permis de le proposer à mon père et à mes frères. Pour la première fois j’ai pu dire à mon père que je l’aimais. Nous avons exprimé nos sentiments et nous nous sommes pardonnés. Je suis très reconnaissante pour la nouvelle relation harmonieuse qui existe au sein de ma famille. »  Fidelina

Le bonheur

Selon le site Indice du bonheur, qui fait de multiples sondages en ligne, les personnes qui ont lu 10 livres et plus dans la dernière année ont un indice de bonheur supérieur (79.40) à ceux qui n'en ont lu aucun. Qu'est-ce que cela veut dire?

La lecture, que nous le voulions ou non, est une manière d'ouvrir notre esprit et notre coeur à l'inconnu. Les études démontrent, et vous en conviendrez, que la lecture détend tout l'être. En plus, cela peut-être une façon de s'instruire, consciemment ou non. Consciemment, lorsque nous choisissons un éducatif (psychologie, sexualité philosophie, science, etc). Inconsciemment, parce que la lecture régulière permet au cerveau d'améliorer ses aptitudes en langue (écrite et orale).

En visitant ce site, vous y découvrirez beaucoup d'information intéressante.